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SÉANCES 

Des jeunes vivant dans les 10e et 19e arrondissements de Paris, la plupart issus de zones ZEP, participent à nos activités de skateboard menées depuis des années dans le but de réduire les inégalités et d’inclure les enfants qui n’ont pas le droit de partir en vacances l’été. Le projet vise à encourager ces jeunes, quelle que soit leur condition physique ou sociale, à bouger et à être actifs, en leur proposant des installations sportives de qualité. Cette année, nous proposons des activités innovantes comme le cirque et le skateboard, alliant sport et culture. Elles donnent la possibilité aux participants de participer gratuitement à des ateliers dispensés par des animateurs du monde entier. Ainsi, l’apprentissage des langues peut également être mêlé à des activités sportives.​

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Le skateboard est un outil qui peut contribuer à apporter non seulement du sport, mais aussi une motivation motrice à ceux qui s'y adonnent. ​

 

Les activités proposées se dérouleront tout au long de l'année et sont souvent accompagnées de spectacles et de démonstrations de street art en direct.

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Un projet pilote qui associe cirque et skateboard, sport et culture, a été lancé cette année. La combinaison des disciplines ouvre la possibilité à des publics extérieurs de participer à des ateliers. Les Jeux Olympiques ont ouvert Paris au monde, l'apprentissage des langues sera donc mêlé à des activités sportives pour accueillir des publics du monde entier.

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PARTENAIRES EMMAÜS SOLIDARITÉ

Implication auprès des jeunes réfugiés 2016, une vague de réfugiés est arrivée en Europe marquant la première d'une longue série de tentatives pour fuir l'instabilité de leur pays. Que ce soit la guerre, le réchauffement climatique, l'instabilité politique ou économique, ces jeunes se sont retrouvés dans une prison administrative à leur arrivée. Emmaüs a réagi avec le projet « bulle », installé à la Porte de la Chapelle en 2016. Ce centre de traitement et d’accueil est resté un peu plus d’un an. Pendant ce temps, 400 personnes y transitaient chaque semaine pour accéder à des consultations médicales et sociales puis, elles étaient transférées, dispatchées dans d’autres villes de France. J’intervenais sporadiquement armée d’un skateboard et de matériel de jonglage peu solide. Ces instruments de divertissement apportaient des sourires, une sorte de « brise-glace » pour ouvrir aux échanges et offrir un peu de diversion à la réalité pesante de leur situation.

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